Il n’existe aucun remède pour la maladie d’Alzheimer mais les soins et les traitements sont à suivre tous les jours afin d’améliorer la condition du malade alors que la maladie est considérée comme mortelle et qu’il n’existe pas de guérison définitive.
Toutefois, l’aide de la médecine alternative est sollicitée pour aider à améliorer la condition du malade. Il s’agit d’utiliser des herbes et des suppléments alimentaires. Mais la sécurité et l’efficacité de ces derniers sont encore inconnues. D’une part, les effets secondaires et les réactions passent inaperçus et sont non documentés dans la plupart des cas, ce qui empêche d’effectuer des enquêtes. D’autre part, les consommateurs lisent rarement les avertissements et dans certains cas, ils ne sont même pas fournis avec le produit. En outre, ces suppléments peuvent interagir avec le médicament prescrit et sérieusement accélérer un ou plusieurs effets indésirables.
Selon une étude récente, 1 personne âgée sur 10 peut souffrir de ce trouble et le nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer devrait tripler dans le monde d’ici à 2050. 14 millions de personnes en Amérique sont susceptibles d’en souffrir. La France, elle, devrait voir doubler le nombre de personnes atteintes par cette maladie.
Le nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer devrait tripler dans le monde d’ici à 2050
En moyenne, une fois que la maladie se déclare, l’espérance de vie est de 8 ans à 12 ans. Elle est héréditaire dans la plupart des cas. Dans quelques cas, elle est la conséquence d’une maladie physique aggravée par des habitudes irrationnelles comme la drogue, l’alcool ou le tabac.
Comme la maladie d’Alzheimer est connue comme une des maladies les plus complexes, toute guérison définitive n’est pas possible pour l’instant. Les gens malades d’Alzheimer souffrent depuis des années, et leur souffrance n’est pas limitée physiquement mais plus encore psychologiquement et émotionnellement. Finalement, ils meurent après avoir souffert pendant environ 6 ans après le diagnostic initial mais leur système neurologique est affecté par la maladie bien avant cette période. La pire expérience pour les malades est la mort au milieu d’étrangers puisqu’ils oublient leur famille et leurs amis et essayent de retrouver leur identité jusqu’à ce qu’ils soient consommés par la maladie complètement.
Mais la tâche la plus difficile incombe aux personnes qui prennent soin du patient car ils doivent surmonter toute sorte de stress: physique, financier et émotion. Leurs ressources sont taries par l’achat de médicaments qui peut durer pendant de nombreuses années alors qu’il n’y a pas d’espoir de guérison. Ils peuvent rendre la vie du patient plus confortable en collant des noms sur la photo des membres de la famille et la lui mettre visible. Ils peuvent aussi coller des étiquettes sur les tiroirs selon leur contenu. La mise en place d’une liste de numéros de téléphone du médecin, des amis et des parents aide également la personne malade au cas où elle cherche à parler à quelqu’un. Le fait de la pousser à poursuivre ses activités favorites peut l’éloigner de la pensée de la mort. Dans les stades tardifs de la maladie, on pourrait lui lire des livres religieux et on pourrait jouer de la musique pour la calmer. Mais rien ne vaut la proximité physique des proches et être chers durant ce moment de détresse.
Pendant toute cette période, le soignant est sûr d’avoir du stress de sorte qu’il doit participer à des rencontres sur le sujet et rejoindre des organisations de services communautaires. C’est nécessaire dans la mesure où beaucoup d’émotions peuvent persécuter le soignant comme le chagrin, la culpabilité, la colère, l’embarras et la solitude. Les discussions avec d’autres personnes dans la même situation aident à extérioriser ces sentiments et le partage de techniques peut faciliter encore davantage son travail.
Comme il n’y a rien d’aussi cruel que de voir un être cher souffrir et mourant. Parfois, c’est physiquement difficile. Finalement, il est préférable de chercher de l’aide telle que l’embauche d’une infirmière ou d’un aide-soignant lorsque la maladie se trouve à un stade plus avancé.
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3 complémentaires alimentaires efficaces contre les maladies du vieillissement
PRINCIPALES INDICATIONS : diabète insulino-résistant, problèmes cardiovasculaires, SIDA, maladies neurodégénératives (maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer), maladies oculaires (glaucomes, cataractes), irradiation, intoxication
Le meilleur de la phytothérapie pour garder une bonne mémoire !
L´utilisation du R-Acide alpha-lipoïque (d-Form) avec celle d´un autre acide aminé, l´acétyl L-carnitine, donne, au vu des recherches les plus récentes, des résultats tout à fait étonnants dans la prévention des symptômes du vieillissement.
PRINCIPALES INDICATIONS : Trouble visuel, Dégénérescence cérébrale, Dépression, Diabète, Performances sportives.
L’acétyl L – carnitine est tout d´abord un produit antivieillissement du plus grand intérêt. En facilitant le transport des acides gras dans les mitochondries, qui sont comme les centrales énergétiques des cellules, elle optimise la transformation de ces derniers en énergie et en muscles. Mais c’est particulièrement en conjonction avec l’acide alpha lipoïque et la co-enzyme Q10 que ses effets antivieillissement sont les plus étonnants. L’acétyl L – carnitine renforce, en effet, l’action de ces derniers dans le maintien des fonctions de la mitochondrie et permet ainsi d’augmenter la production d’énergie dans toutes les cellules du corps.
PRINCIPALES INDICATIONS : Cholestérol, Faiblesse immunitaire, Cancer (alimentation), Artériosclérose, Maladies neurodégénératives, Rides
Co-enzyme Q10 protège le système cardio-vasculaire, renforce le système immunitaire, complète le traitement de certains cancers (sein, prostate) et prévient certaines maladies du vieillissement comme les affections neurologiques ou l’artériosclérose.
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